Benoît salope soumise

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il y a 7 ans

Benoît salope soumise

François, mon patron et mon Maître a modifié mon contrat de travail de commercial à secrétaire. Un autre contrat rangé dans son coffre fort est rédigé : celui qui me défini comme salope et qui détermine mon Maître, à qui je confie ma vie, sans restrictions aucunes.

François discute avec un amant d’avant, quand j’étais un homme libre :

« Tu sais Sylvain, j’ai modifié de contrat de travail de Benoît. C’est ma secrétaire personnelle à présent. Pour qu’elle soit plus performante, je l’ai envoyé en stage.

  • ha, bien. Et qu’est-ce qu’il y fait ? Au fait maintenant c’est « il » ou « elle » ?

  • je préfère « salope », c’est plus dans sa nature. Tiens voilà le programme, qu’en penses-tu ? »

Le séminaire :

1er jour :

  • accueil des stagiaires avec visite médicale

  • sport : élongations, étirements et échauffement

  • pause repas : pique-nique sur l’herbe avec sandwich et champagne

  • cours de maintient et expression orale

  • secrétariat

  • repas gastronomique sur le thème du foie gras du périgord

  • temps libre/repos

  • veillée, activité macramé

2ème jour :

  • Lever, petite collation, toilette,

  • gymnastique

  • repas « sur le pouce »

  • activités équestres

  • geste et posture

  • relaxation

  • validation des acquis

  • retour à la maison »

Je suis arrivé en taxi à l’hôtel particulier à Passy. Magnifique demeure de Maître dont les ormes dépassaient l’acier noir de 2 m de haut, orné de piques dorées, clôturant l’espace feutré.

Je sonne. L’ouverture automatique de la porte s’enclenche après que la caméra eut fini ses « bzzzz » de rotation et que son gros œil m’eut ausculté. Un homme en uniforme noir avec bottes vernies montantes, le tout très uniforme allemand, ouvre la porte et me hurle dès que la porte d’acier revêtue de bois fut close :

« Votre convocation ! »

Je lui tends la lettre que Maître François m’a remise lors de mon départ. La lecture dure un moment plutôt long par le cerbère, puis il m’ausculte et me dis :

« Ton nom salope ?

  • bonjour Monsieur, je suis benoit-salope, propriété de Maître François »

  • Fous-toi à poil maintenant, puis mets tes fringues dans un casier dans les couloirs de droite. »

J’obéis.

« Suis-moi la pute ».

Nous allâmes dans une pièce de type médico-médiéval ou une femme magnifique est assise à un bureau en inox. Jupe stricte et noire, talons et chemise beige clair en soie aux boutons ouverts. Je m’agenouille à sa rencontre, baisse la tête contre le sol et me présente d’une voix mesurée : « bonjour Madame, je suis benoit-salope, propriété de Maître François ».

Une claque retenti v i o l ement.

« Tais-toi la pute. Je suis Madame le Docteur. Ne parle que si on t’interroge. Tu ne dois dire que « oui » et « merci ».

  • Oui Madame le Docteur, merci. »

Une autre claque retenti. « C’est bien.

  • merci Madame le Docteur.

  • assied toi sur le siège, là.

  • Oui Madame le Docteur, merci. »

Je m’assois donc sur un genre de siège en tout point ressemblant à un abatant de toilette, mais de cuir noir soutenu de pointes d’acier. C’est douloureux. Là, le mec en uniforme me mets des bracelets en cuir aux poignets et chevilles et relie les anneaux à des chaînes métalliques. Le Docteur se concentre sur une console en inox avec des boutons. Les chaînes remontent vers des treuils installés au plafond, et me voici bientôt écartelé les fesses bien ouvertes et les quatre fers en l’air. Le mec en uniforme me ceinture le ventre au siège. Je suis mis à disposition et ne peux plus bouger. La femme dit alors au militaire :

« Tuyau, eau 5 litres avec pied. » Le gars s’en va. La femme prend un gros plug de quinze cm par au moins 7 cm me le plante dans la bouche et me dis « suce bien salope, nous n’utilisons pas de gel ». J’avale le plug et le salive le plus possible. Je me end compte qu’il possède un trou en son milieu. A ce moment l’escogriffe revient avec le matériel et le docteur m’encule avec son plug. Je serre bien les dents pour ne pas montrer à quel point j’aime, mais la bite à la verticale ne ment pas. Le docteur me prend les bourses et les tord. Je hurle en silence et en serrant les dents pour ne pas faire honte à mon Maître. Ma bite redescend, flasque et molle.

« On verra ça tout à l’heure » me dit le docteur. Le plug dans le cul, on me met un tuyau dans l’intestin via le plug percé, et on me le met bien profond. Un robinet est ouvert et le délice commence. A un litre j’ai encore la bite au garde à vous. Re-torsion des couilles et claque dans la gueule. L’homme en noir pousse une bassine sous le siège tandis que le docteur me déplug. Je déguste grave car l’engin est énorme.

Je serre les fesses dans l’attente de l’ordre qui me délivrera de l’eau. « Lâche » me dit le docteur. L’eau me sort des intestins d’un long jet. Celle-ci est assez claire, n’ayant rien mangé depuis hier au midi. Le soir, seul le sperme et l’urine de maître François me sont permis. Le docteur me ré-empale avec le plug puis réinsère le tuyau. Cette fois j’ai droit aux quatre litres restant. Les crampes me font assez mal. J’aime beaucoup. Enfin le docteur retire le tuyau mais bouche le plug avec un bouchon.

« Occupe-le » dit le médecin au baraqué. Il sort sa bite, très respectable, et me la donne à sucer. Durant ce temps, le docteur me met un bonnet de piscine en me couvrant les yeux et mes cheveux. Elle pulvérise ensuite un produit qui me pique sur tout le corps, en insistant bien sur les burnes et mon cul. Je m’applique à bien sucer pour éviter de ressentir trop les crampes dues à l’eau dans l’estomac et les douleurs sur ma peau. Pour faire bonne mesure et entre deux grognements de satisfaction, l’individu me colle des baffes. Ensuite il me prend les cheveux et m’enfonce sa bite profondément jusqu’à ce que les bourses se collent à ma bouche. Il me baise la bouche pendant un bon quart d’heure. J’ai les intestins qui me tordent le ventre malgré mes chaînes et le ceinturage de cuir. Je transpire de tous les pores.

Le docteur retire enfin le plug et mes intestins se vident. Elle a un gant en plastique transparent qui lui couvre l’avant bras. Elle l’huile et me fist. D’abord deux, puis trois, puis quatre doigts. C’est vite fait, très professionnel. Dans moins de cinq minutes j’ai son poignet dans l’anus. De ses doigts elle masse ma prostate. C’est bon ! Elle me masse bien et du sperme commence à couler de mon gland. La frustration est immense car je sais que je ne jouirai pas. Elle est en train de me traire comme une vulgaire vache. Elle extrait bien cinq cl de sperme et quand plus rien ne sort de ma bite, elle ressort son bras. Elle jette le gant en plastique et prend un engin dans un tiroir de son bureau.

« C’est un dispositif de chasteté, connasse. Modèle spécial à la demande de ton maître qui aime te voir bander mais qui te refuse la jouissance. C’est articulé, mais recouvre toute ta bite et ainsi tu ne pourras pas te masturber salope. »

Experte, elle m’applique l’engin qui semble être fait de kevlar ou de matériau composite. C’est super solide mais avec un peu de souplesse aussi. Ma bite maintenant au garde à vous est enveloppée par un tube fait d’écailles articulées entre elles. La base forme un cockring et m’enserre les couilles. Le tube d’écaille est maintenant cliqué sur le cockring et le docteur passe un cadenas, tout noir aussi, dans l’endroit voulu. « clac ». « Voilà sale conne, tu as juté pour la dernière fois tout à l’heure. Ah ah ». Elle m’écrase de nouveau les testicules pour me faire débander. C’est plus long cette fois à redescendre mais je ne risque plus d’éjaculer ! La bite enfin molle, le docteur courbe le tube jusqu’aux couilles et un « clic » me fait comprendre que cette fois ma bite est accrochée au cockring. Je ne peux plus bander sauf si mon Maître le désire et me libère le tube d’écaille. « Toi, jouis ! » dis le docteur au garde. Le molosse s’arque en grognant « mmhh ouiiiii » puis se vide dans ma bouche. « Garde tout en bouche sale pute » me dit le docteur. J’obéis, bien sûr. « Ouvre », j’ouvre la bouche. Elle met alors la clé du cadenas dans un genre de capsule, la trempe dans un produit qui la scelle et la met dans le préservatif ou trempe ma semence. Elle noue le préservatif et me le met en bouche. « Avale tout connasse ». J’avale le sperme du gars et l’œuf surprise. « Tu le donneras à ton maître à ton retour.

  • Oui Madame le Docteur, merci. »

Elle regarde la montre à son poignet, renvoie le garde, et me souffle :

  • On a encore un quart d’heure salope, alors tu vas me lécher la moule et le cul. Et si c’est pas bien fait, je t’arrache les couilles petite pute ! »

Elle se positionne à cheval sur ma figure et me dit « vas-y salope »

Je me suis appliqué à la faire jouir trois fois de suite. Elle m’a juté sa mouille sur la figure. M’a ordonné d’ouvrir la bouche et m’a pissé dedans. J’ai tout avalé sans rien laisser couler. Enfin elle s’est redressée, a réarrangé sa jupe et appelé le garde.

« Conduit cette salope au gymnase.

  • Bien Madame. »

Le garde me conduisit au gymnase. Un type en treillis et marcel noir nous attendait en s’affairant sur une boîte d’où pleins de fils électriques émanaient. Quand nous arrivâmes devant lui, il me fit lever les bras et me menotta les poignets avec des menottes en acier. Il tenait en bandoulière une commande radio, et s’en servi pour faire descendre du plafond une chaîne avec un crochet de manutention à son bout. Il me mit juste au dessous de la chaîne, accrocha la chaîne des menottes au crochet. Avec des coups de pied il me fit écarter les jambes d’un mètre à peu près jusqu’à ce que les pieds touchent des anneaux d’acier fixés au sol. Il s’accroupi et me menotta chaque cheville aux anneaux avec des menottes en acier. Enfin il se releva, me donna une bonne claque sur le cul et me dis :

« Allez salope on y va pour une petite heure et demi.

  • Oui monsieur, merci Monsieur » répondis-je. Aussi il remonta la chaîne du treuil jusqu’à ce que mes doigts de pied effleurent le sol. La position tirait fort sur les bras qui me faisaient déjà mal aux épaules. Le type renvoya le garde et pris les fils électriques en mains en me disant :

  • Ton Maître te veux plus réceptive aux attouchements de toutes sortes. Dans cet atelier on va te stimuler les nerfs de sorte que tu sois constamment au maximum de ta réceptivité. Tu vas voir tu vas aimer ». Il me fixa une pince crocodile à une couille et je réprimai un cri de douleur. « Tu peux crier ici connasse. En fait tu vas crier car j’aime ça faire crier les putes. C’est pourquoi tu ne seras pas bâillonné. »

Il me mit une autre pince crocodile sur l’autre couille, m’enfonça un cathéter d’acier dans le méat en passant par le trou pour uriner de ma camisole articulée, une pince crocodile à chaque téton. Là j’ai souffert quand les dents sont entrées dans mes seins. Il m’a enfin mis un gode long de 24cm par 6cm avec tout le long deux bandes métalliques qui courraient sur le long de la bite de latex. Il me le mit d’une seule poussée en m’écartant bien le cul d’une main. Avec une cordelette assez longue il me fixa le gode par l’entrejambe tout autour de la taille de sorte qu’aucun cm ne ressorte de mon cul. Sur l’embase du gode, il connecta deux fils électriques ainsi qu’à chacune des pinces qu’il m’avait accroché sur le corps. Il relia tous les fils sur son boîtier et appuya sur un gros bouton rouge au milieu de la boîte. Là, je hurlai et me convulsa de douleur. Un sale rictus lui barrait le visage alors que je me tournais vers lui les larmes aux yeux, implorant silencieusement une clémence que je savais inexistante chez ce sadique Il régla. Son engin grâce à un bouton, et le posa sur une desserte. Il prit un micro sur pied qu’il installa devant moi à 30cm.

« Tu vas être fouetté sale pute. Chaque cri perçu par la machine via le micro devant toi commandera une décharge électrique comme celle que tu viens de recevoir. Pas la peine de compter, au mur en face de toi il y a une horloge. Tu la vois salope ?

  • Oui Monsieur. Merci Monsieur.

  • Je te libère pour la pause sandwich dans une heure et demie. Maintenant on commence sale pute !

  • Oui Monsieur. Merci Mons... » Je n’ai pas terminé qu’un coup de fouet me cingle les reins.

Je hurle autant par douleur que par le stress et l’appréhension que le type a créé, et dans l’instant un spasme de douleur me traverse. La décharge traverse mes couilles, la bite, me brûle le cul dans toute sa profondeur et me déchire les seins ! Ça fait mal ! J’ai les nerfs qui tressautent et je me convulse dans tous les sens que me permettent les chaînes. Je ne peux pas me retenir je pleure doucement comme un condamné qui ne saurait espérer de grâce.

Le mec savoure ma douleur et me reclingle les reins plus vers les fesses ce coup-ci. Je donnerai tout pour un bâillon, mais je laisse échapper un cri de douleur et une nouvelle décharge me traverse.

Mon b o u r r e a u se délecte de ma douleur et sort sa bite de son treillis. Il bande à m o r t le salaud. Il se caresse la hampe d’une main et me fouette de l’autre. Mes cris succèdent à de méchantes décharges. Je pleure, je transpire par tous les pores.

Les coups pleuvent, les décharges se succèdent sans que je puisse me retenir de crier.

Au bout d’un temps il met deux gants en latex remontant très haut sur les bras se couvre d’une capote et me retire le gode du cul. Nouvelle décharge ! je me projette vers l’arrière car maintenant le courant ne passe plus que par le devant de mon corps. Le mec m’écarte le cul d’une main, positionne son gland sur mon anus et appuie sur son boitier. La décharge fuse et je m’empale sur sa bite tout tremblant de douleur. « Aaah » se délecte le mec derrière moi « j’adore ton cul ! tu vas voir avec mon traitement tu vas tressauter autour de ma bite, on va se régaler toi et moi !

  • Ou-ui Monsieur. Me-erci Monsieur. »

Alors les coups de bite succèdent aux décharges, je pleure, je hurle, je me convulse dans tous les sens que me permet sa poigne d’acier et les chaînes qui me tendent entre le sol et le plafond. Mon cul se resserre à chaque décharge et lui comprime la bite, alors il lâche son boîtier pour me prendre les hanches à deux mains et il se déchaine comme un dément dans mon cul. Là, je prends grave, mais l’absence de douleurs par les décharges fait que son enculage, son v i o l de mon cul, me rend fou de volupté et je crie mon plaisir alors qu’il se vide à grands coups de reins dans sa capote.

Il s’allume une clope, content de lui, d’avoir bien baisé.

« tu aimes ça la bite, hein, sale chienne de pute !

  • Oui Monsieur. Merci Monsieur. »

Sa clope terminée, il fait descendre les chaînes du plafond. N’ayant plus aucune f o r c e je m’écroule au sol. Alors il me donne des coups de pieds pour que je me relève.

« Si tu ne veux pas morfler une décharge max, tu te fous à genoux et tu me fais ta meilleure pipe, et t’as intérêt à te surpasser sale pute !

  • Oui Monsieur. Merci Monsieur. »

Je me jette à genoux, embrasse le gland v i o l et de désir avale le liquide qui en suinte. Je le lèche avidement comme un esquimau la langue sortie au maximum, je lui fais de grands sourire de salope, je lui prends les couilles délicatement entre mes mains comme des coupelles, lui lèche ses couilles, lui tête le gland l’avale en sortant bien la langue jusqu’à ce que mon nez soit collé son pubis. J’attends en le regardant. Il me prend les cheveux et me baise la gueule à fond très vite et très v i o l ement. Il me rejette la tête après une bonne minute, me dis « continue salope ». Durant un quart d’heure je suce, j’avale, j’embrasse, j’aspire, le recouvre de bave, le lèche. Enfin la bite se durcit encore plus ; le mec me prend le front d’une main, me bloque le menton de l’autre et la bouche bloquée en position ouverte, et la tête presqu’à l’horizontale je sens passer sa bite dans la gorge puis l’œsophage. Il s’agite un moment encore pour bien branler son gland dans ma gorge et se vide en gueulant « Aahhh, avale enculé ! Prend tout sale pute, connasse ! ». Il se retire et me crache dans la bouche.

« Ouvre la bouche, sale pute, je dois pisser.

  • Oui Monsieur. Merc..., arghl argll » j’avale tout par des goulées rapide tellement le flot est puissant et rapide

« Nettoie salope !

  • Oui Monsieur. Merci M... mmhhh ».

Mon b o u r r e a u me plonge sa bite gouttant de pisse dans la bouche et je le lèche avidement entre deux claque qu’il m’assène. « C’est bien sale pute ».

Il appuie sur son boitier le contact au maximum, je hurle ma douleur. Lui, rigole de me voir me convulser. « c’était la dernière, pour le plaisir ! ah ah

  • Ouu-uui Mmm-onsss-ieur. Mmm-erci Mmmm-onsieur. »

Il me détache chaque pince lentement et je tressaille de douleur à chaque libération. je me pisse même dessus alors qu’il me retire l’urètre, à ma plus grande honte et à sa plus grande joie sadique au vu de son rictus béat.

« Il est l’heure de se restaurer. Tu as été une bonne pute bien gentille et dévouée. Ça te fera le plus grand bien. » me dit-il « Alphonse et Antoine vont te mener jusqu’à l’aire de pique nique, ça sera sandwich pour toi.

  • Oui Monsieur. Merci beaucoup Monsieur. »

Mon b o u r r e a u s’en va me laissant seul. Je m’aperçois que mon estomac crie famine et gargouille d’horribles bruits. Je me tiens droit jambes écartée de 20cm, la tête baisée, comme il sied à un esclave. J’attends.

A un moment, deux grands black viennent alors et me prennent chacun par un bras. Je suis plus porté qu’autre chose hors du gymnase.

Bananax

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